About the meeting:
Place: |
À son appartement |
Durée: |
60 minutes |
Cadeau: |
300
|
Apparence et Services:
Apparence: |
10.0 |
Massage: |
10.0 |
Rapport: qualité/roses: |
10.0 |
Rating: |
98.5 |
Massage: |
Enthousiaste |
Plusieurs Massages: |
Oui, plusieurs fois |
Poitrine: |
Réels |
Attitude: |
Amicale |
Conversation: |
Intelligente |
Disponibilité: |
Facile de réserver |
Photos: |
Photo 100% réelle |
Évaluation:
Ce fut un beau dimanche pascal que celui de cette année. Une jolie journée baignée par un chaud soleil. Si may pourrait finir avant april en Angleterre, en France juillet sembla commencer en avril. Comment finir mieux ce dimanche sinon en retrouvant la compagnie de ma merveilleuse magicienne, la « sorcière bien-aimée » au beau visage de Madone. Même Blaise Pascal l’a concédé dans son « Discours sur les passions de l’amour » (DPA) : «L’homme est né pour le plaisir : il le sent, il n’en faut point d’autre preuve. Il suit donc sa raison en se donnant au plaisir.» Nous ne contredirons pas cet illustre génie qui l’espace de deux ou trois saisons semble avoir lui-même bien apprécié la magie des femmes : «La beauté est partagée en mille différentes manières. Le sujet le plus propre pour la soutenir, c’est une femme. Quand elle a de l’esprit, elle l’anime et la relève merveilleusement. » (DPA) Et ma belle magicienne, de l’esprit elle en a ô combien. Et sa beauté sublime ne cesse de me charmer. En route donc pour les bords du grand fleuve, à proximité de la Grande Dame de Fer qui illumine les belles nuits de Paris. Par avance, en marchant vers elle à travers les rues, je savourais le plaisir de sa compagnie, je me sentais déjà enveloppé de sa gentillesse, de sa tendresse, j’entendais par avance la douce musique de sa voix, son si craquant accent hispanique, je me baignais dans son rire sonore. Comment serait-elle habillée ce soir ? Quelle serait sa coiffure ? Et oui il est vrai Mesdames que vous avez «un empire sur l’esprit des hommes » (DPA) et cela n’en rend que plus belle, plus trépidante notre vie. « L’homme est né pour penser ; […] mais les pensées pures, qui le rendraient heureux s’il pouvait toujours les soutenir, le fatiguent et l’abattent. […] il lui faut du remuement et de l’action, c’est-à-dire qu’il est nécessaire qu’il soit agité des passions, dont il sent dans son cœur des sources si vives et si profondes. » (DPA) Arrivé à son immeuble, je me suis précipité comme un enfant vers le lieu du bonheur. Vers ma reine des Amazones donc car « L’homme seul est quelque chose d’imparfait ; il faut qu’il trouve un second pour être heureux. » (DPA) Sa porte s’est ouverte et une nouvelle fois elle m’est apparue. Divinement belle, élégante, sensuelle. Son magnifique sourire m’a hypnotisé immédiatement. Sa joie m’a réchauffé le cœur. Un délicat baiser m’a rappelé le goût sucré de ses lèvres, si délicieusement rouges, si tendres. Ses yeux m’enveloppaient déjà de leur douceur. « les yeux sont les interprètes du cœur. » (DPA) Le doux plaisir de l’enlacer un moment, de sentir la douceur du kimono noir qui recouvrait son magnifique buste, de m’enivrer de son parfum. Son grand salon était doucement éclairé et elle m’a rejoint sur le canapé avec les indispensables couples de Champagne. Une fois de plus, j’ai béni Dieu d’avoir créé la femme lorsque je l’ai vu parcourir la grande diagonale de son salon de sa si sensuelle démarche. La beauté de ses jambes. Longues et musclés. Sa prestance ensorcelante. La séduction si singulière des latina. « Quoique cette idée générale de la beauté soit gravée dans le fond de nos âmes avec des caractères ineffaçables, elle ne laisse pas que de recevoir de très grandes différences dans l’application particulière [.] Car l’on ne souhaite pas nûment une beauté, mais l’on y désire mille circonstances qui dépendent de la disposition où l’on se trouve ; et c’est ainsi en ce sens que l’on peut dire que chacun a l’original de sa beauté, dont il cherche la copie dans le grand monde. » (DPA) A voir « l’ émoi » dans lequel elle me plonge souvent, j’ai du trouver en elle la copie de cet « original de la beauté ». La suite de notre délicieux rendez-vous, le fameux social time, fut un merveilleux moment de complicité, de gaieté. Le savoureux plaisir de converser avec une femme d’esprit, vive, gaie et drôle. Nous avons beaucoup ri en effet. Elle était encore plus pétillante que le champagne. La beauté de son rire sonore, de son visage éclairé par sa joie, son sourire. Ma belle « sorcière bien aimée » est une personne merveilleusement envoûtante. Le ravissement de la faire sourire, rire par un mot, une attitude. « Dans quel transport n’est-on point de former toutes ses actions dans la vue de plaire à une personne que l’on estime infiniment. » (DPA) Encore une fois, il a donc fallu qu’elle m’arrache au charme de ce moment en m’envoyant sous la douche. Moment de douce quiétude où l’on se plait à prendre soin de ce corps qui ira se confronter dans quelques instants à celui de sa partenaire, pour construire ensemble de beaux moments de plaisirs charnels, des moments où pour reprendre la belle expression de Pascal « l’éloquence d’action » (DPA) devra prendre la relève des mots pour exprimer l’envie, le désir de l’autre. « « Les yeux s’allument et s’éteignent dans un même moment ; et quoi que l’on ne voie pas manifestement que celle qui cause toute ce désordre y prenne garde, l’on a néanmoins la satisfaction de sentir tous ces remuements pour une personne qui le mérite si bien. L’on voudrait avoir cent langues pour le faire connaître ; car comme l’on ne peut pas se servir de la parole, l’on est obligé de se réduite à l’éloquence d’action. » (DPA) Décidément, il faudra que j’offre à ma magicienne qui aime tant la philosophie cet essai de Pascal dont chaque ligne est si juste et offre même aux maris volages une des plus belles défenses : «L’attachement à une même pensée fatigue et ruine l’esprit de l’homme. C’est pourquoi pour la solidité et la durée du plaisir de l’amour, il faut quelquefois ne pas savoir que l’on aime ; et ce n’est pas commettre une infidélité, […] c’est reprendre des forces pour mieux aimer. Cela se fait sans que l’on y pense ; l’esprit s’y porte de soi-même ; la nature le veut ; elle le commande. » (DPA) Que ces choses-là sont plaisamment écrites : « la nature le veut ; elle le commande. » Je savais moi aussi que dans cette dernière partie, ma magicienne enflammerait encore mes sens, que l’envie de sa chair décuplerait la mienne. Que de choses en un homme la séduction, la sensualité, la beauté d’une femme est capable de provoquer. Le délicieux instant où après une dernière gorgée de champagne, les vêtements tombent : un serviette pour l’un, un kimono pour l’autre. Où esquissant quelques pas, la prêtresse attire son pénitent sur son terrain, son lit. « Ç’est toujours moi ma divine / Toi qui manie tout / Tu danses et tu me dessines / Un serpent debout / Tu fais même rougir le soleil. » (François Feldman Câline-moi) La saveur d’une peau, l’exploration d’un sein, deux mains qui parcourent un corps sculptural de femme. Quelques dernières paroles en plongeant dans son regard fascinant avant de basculer dans le silence, pour laisser place à la fameuse « éloquence d’action ». Le temps des fameux massages où deux corps se découvrent, se redécouvrent, se touchent, se frôlent. Le basculement l’ivresse des sens « Et les Dieux deviennent fous / Quand tu défies le ciel / Ça reste entre nous / Comme un jeu, comme un accord / Câline câline moi encore / Féline sur mon corps / Câline câline moi encore / La nuit pour décor / Câline câline moi encore / Toujours et plus fort / Câline câline moi encore » Puis abandonnant tes derniers effets, libérant ses magnifiques seins, si lourds, si sublimes, ne gardant plus que ses très élégantes chaussures, la prêtresse du plaisir se donna à son adorateur. « C’est fou l’effet que tu m’fais / Quand tu te défais / Je savoure tes doux maléfices / Un doux sacrifice / Mais ce sont nos secrets d’alcove / De l’amour qui nous sauve / Mais si tu m’ensorcèle / Je resterais fidèle / Comme un jeu comme un accord / Câline câline moi encore / Féline sur mon corps / Câline câline moi encore / La nuit pour décor / Câline câline moi encore / Toujours et plus fort / Câline câline moi encore / Tu danses avec la lune / Et la nuit se parfume / Quand tout s’illumine / C’est ton corps qui domine » Ce fut en effet son corps qui domina d’abord l’autre. La fascinante vision de cette déesse qui s’élevait vers les cieux, de ce visage de madone parcouru par le plaisir, de ses magnifiques seins qui fendaient l’espace, de ce corps irrésistible de bomba latina dont les mouvements dessinaient la plus charnelle des danses. L’envie rageuse de satisfaire, de combler sa cavalière, de la remercier de son talent, de son art, du plaisir reçu d’elle. Puis, après l’avoir vu s’élevé si haut au-dessus, la satisfaction, une fois permutées les positions, d’apercevoir ce petit tatouage à la base de sa nuque, de parcourir du revers de la main son si joli dos, en faisant frissonner sa peau, de s’étonner de la beauté de son ravissant séant. La satisfaction de la faire frémir, de voir dos se cambrer, s’effondrer sur le lit, d’écouter sa mélodie, de partager avec elle le mystère qu’est le plaisir. Et puis… Le relâchement des corps, les conversations qui reprennent progressivement. Les vêtements qui font leur retour. La saveur du champagne après l’effort. Sa fraîcheur. C’est la fin de cette messe du plaisir. Et comme à la fin de toutes les messes, la gens s’attardent pour discuter encore, n’arrivant pas à se séparer. Un dernier baiser dans son cou. Il faut bien partir pour pouvoir revenir. Alors finalement ensemble, nous fîmes notre dernier voyage vers la grande porte. Merci encore Chanthal, grande magicienne, magnifique femme, divine amante, tendre amie pour ce moment sublime. Pouvoir de temps en temps être en ta compagnie est un bonheur. Besos sorcière bien aimée.
Escorte commentaire pour cette évaluation:
Merci d'avoir visité le monde de Chanthal et de ne pas être parti mon Marc-Antoine candum